Inventaire des 22 mars et 3 avril 1773
Aujourd’hui vingt deuxième jour du mois de mars mille sept cent
soixante treize au bourg paroissial de Linards. Environ les huit heures
du matin, par-devant nous Jean Louis Chaussade notaire royal héréditaire
soussigné, en présence des témoins bas nommés
est comparu Jean Demartin laboureur au village de Fégenie paroisse
dudit Linards, lequel nous a dit et exposé qu’il a été
décerné tuteur à Antoine, Joseph, Françoise,
Léonarde et Anne de Crorieux, enfants mineurs et impubères
de défunt Antoine de Crorieux dit Leprieur, vivant métayer
du seigneur marquis de Linards au village de Crorieux paroisse dudit Linards
et de Marguerite Dubois, suivant le procès-verbal de nomination
du onze du courant signé à l’expédition Villette greffier,
en conséquence duquel il aurait été assigné
à la requête de M. Paul Vidaud procureur fiscal en la juridiction
dudit marquisat de Linards pour prêter le serment en tel cas requis,
ce qu’il a fait ainsi qu’il appert de l’acte fait en ladite juridiction
le vingt du courant et icelui comparant désirant éviter tout
reproche qui pourrait lui être fait à cause de la dissipation
du mobilier dépendant de la succession dudit feu de Crorieux aurait
présenté sa requête tendante à ce qu’il plut
à M. le juge ou M. son lieutenant en ladite juridiction de lui permettre
de faire procéder à l’inventaire et description dudit mobilier
avec procès-verbal des bâtiments dépendants de ladite
succession par tel notaire qu’il leur plairait nommer qui vaquerait audit
inventaire en présence des plus proches parents desdits mineurs
qui à cet effet seraient appelés verbalement ou par écrit,
sur laquelle requête signée Barget procureur du suppliant
est intervenu ordonnance le vingt du courant, signé Pigne lieutenant
qui porte nomination du notaire royal soussigné pour la faction
dudit inventaire et procès-verbal. En conséquence nous requiert
de nous transporter ce matin audit lieu de Crorieux où est décédé
ledit Antoine de Crorieux où il offre de faire l’estimation dudit
mobilier, à quoi adhérant nous nous transporterons audit
lieu de Crorieux avec ledit comparant qui a déclaré ne savoir
signer de ce interpellé.
CHAUSSADE
Et advenant ledit jour vingt deuxième mars mille sept cent soixante
treize environ les dix heures du matin, nous notaire royal soussigné
accompagné de nos témoins bas nommés nous sommes portés
audit lieu de Crorieux, où étant n’avons trouvé que
partie desdits parents, quoi même avons remis la faction dudit inventaire
à deux heures après midi ce jourd’hui.
Et advenant ledit jour vingt deuxième mars mille sept cent soixante
treize à deux heures de retenue, nous notaire royal soussigné
accompagné de nos témoins bas nommés, à la
requête dudit de Martin nous sommes portés audit lieu de Crorieux
dans la maison où est décédé ledit de Crorieux,
où étant avons trouvé Joseph Duroudier oncle du côté
paternel desdits mineurs, laboureur au village d’Oradour paroisse dudit
Linards, Georges Bonnefont aussi leur oncle du même côté,
laboureur audit village de Buffengeas même paroisse, Léonard
de Crorieux aussi leur oncle du côté paternel journalier au
lieu de La Fontpeyre même paroisse, Jean Duroudier aussi journalier
du village de Sautour le Petit même paroisse oncle desdits mineurs
du côté maternel, Antoine Flacard leur cousin du même
côté aussi laboureur au lieu de Chez Jartaud même paroisse
et Léonard Mousset laboureur au lieu de La Fontpeyre même
paroisse allié pour avoir épousé Anne Arnaud épouse
en premières noces d’Antoine Dubois oncle maternel desdits mineurs,
auxquels nous avons dit le sujet de notre transport ainsi qu’à ladite
Marguerite Dubois veuve, à laquelle ledit tuteur s’est adressé
pour lui demander la représentation de tout le mobilier ou argent,
titres, papiers, documents et enseignements dépendants de ladite
succession, laquelle nous avons sommé verbalement de faire à
l’instant la représentation dudit mobilier et de prêter le
serment qu’elle n’a rien recélé ni […] des effets, laquelle
nous a fait réponse être à même de faire ladite
représentation. Et avons aussi trouvé Léonard Boudou
laboureur audit village de Mazermaud même paroisse, expert prié
et requis de la part dudit Demartin, auquel dit Boudou nous avons fait
prêter le serment en tel cas requis. Ce fait avons procédé
comme s’ensuit :
Premièrement ladite Dubois, sans entendre se préjudicier
à ses biens et droits mobiliers qui lui appartiennent tant pour
les causes de son contrat de mariage en date du 30 janvier 1758 que par
les testaments des 19 octobre 1760 et neuf mai 1764 passés devant
Barget notaire à Linards dûment contrôlés, par
vertu desquels elle est propriétaire de biens mobiliers et immobiliers
indivis avec ceux dudit feu de Crorieux, auxquels elle n’entend déroger
par ces présentes mais au contraire se réserve de les [représenter]
ainsi qu’elle avisera aux protestations qu’elle peut et doit faire, nous
a représenté les habits dudit défunt de Crorieux qui
sont :
Une paire de culottes de droguet de pays mi-usées, un gilet
de drap de pays aussi mi-usé, une autre mauvaise paire de culottes
de droguet et une paire de toile, le tout évalué deux livres
(cy 2£)
Plus nous a déclaré la dite veuve avoir vendu les autres
habits dudit feu de Crorieux huit livres dix sols, qu’elle a dit avoir
employé en messes basses et services pour le repos de l’âme
dudit de Crorieux (cy 8£)
Plus a déclaré avoir aussi vendu un bonnet et une paire
de bas de laine et une chemise pour quatre livres qui ont été
donnés au domestique dudit de Crorieux en déduction de ses
gages (cy 4£)
Plus nous a représenté une paire de sabots sans brides
estimés huit sols (cy 8s)
Plus deux paires de bas de laine fort usés estimés quinze
sols (cy 15s)
Plus deux chemises de toile de métis qu’on a dit être
nécessaires pour lesdits enfants
Plus ladite Dubois veuve nous a représenté trois mauvais
draps de lit que lesdits parents nous ont dit être nécessaires
pour faire des chemises auxdits mineurs. Lesquels draps ont été
estimés par ledit expert à sept livres (cy 7£)
Plus une nappe de toile d’étoupe contenant une aulne estimée
dix sols (cy 10s)
Plus quatre sacs dont deux fort mauvais estimés deux livres
(cy 2£)
Plus deux coffres dont l’un ayant le couvercle cassé estimés
quatre livres dix sols (4£ 10s)
Plus une mauvaise armoire tout cassé estimé quinze sols
(15s)
Plus une poêle à frire et un poêlon de cuivre avec
sa queue de fer estimés deux livres (2£)
Plus deux mauvais cribles estimés cinq sols (5s)
Plus trois écuelles de terre, deux cuillères et une mauvaise
assiette d’étain commun estimés huit sols (cy 8s)
Plus un pot de deux seaux rapiécé et un autre d’un seau
estimés cinq livres (cy 5£)
Plus une cuillère de laiton avec sa queue de fer estimée
douze sols (cy 12s)
Plus une ferrette à faire les crêpes estimée deux
livres (2£)
Plus un mauvais seau avec son godet estimés dix sols (cy 10s)
Plus une mauvaise faux à couper l’herbe estimée dix sols
(cy 10s)
Plus trois faux à couper le blé estimées par ledit
expert à vingt sols (cy 1£)
Plus un dévidoir à faire les écheveaux et un autre
à les défaire estimés huit sols (cy 8s)
Plus un mauvais panier à fromages presque pourri estimé
deux sols (cy 2s)
Plus une pelle à enfourner le pain estimée cinq sols
(5s)
Une planche à faire le pain estimée cinq sols (cy
5s)
Plus un mauvais seau à faire la pâte de blé noir
estimé deux sols (cy 2s)
Plus une table et trois bancs avec deux tabourets de grosse charpente
estimés trente deux sols (cy 1£ 12s)
Plus une crémaillère de fer ayant des anneaux estimée
douze sols (cy 12s)
Plus une cognée, le taillant* d’une mauvaise hache, une pioche,
deux hoyaux, un taille pré, deux fourches de fer dont l’une à
trois pointes et l’autre à deux le tout estimé sept livres
(cy 7£)
Plus un mauvais seau à mettre le beurre estimé deux sols
(cy 2s)
Plus une mauvaise palisse et une maie à pétrir la pâte
dont le couvercle est cassé estimées trente sols (cy
1£ 10s)
Plus un mauvais châlit de grosse charpente ayant un mauvais lit
de balle d’avoine et une couverte de serge, plus un autre mauvais lit aussi
de balle ou borde d’avoine, le tout estimé six livres (6£)
Plus quatre planches de caisse de six pieds estimées vingt quatre
sols (cy 1£ 4s)
Plus deux paires de broyoirs à broyer le chanvre estimées
deux livres (cy 2£)
Plus un mauvais tamis à bluter* la farine de blé noir
estimé cinq sols (cy 5s)
Plus un marteau à ferrer les sabots estimé trois sols
(cy 3s)
Et de là sommes montés au grenier qui est sur la maison
où étant avons trouvé trois mauvaises ruches à
mettre les abeilles et deux pallisses à mettre des grains estimées
vingt sols (cy 1£)
Plus lesdits parents nous ont montré un petit tas de blé
noir que nous avons fait mesurer, où il s’en est trouvé six
setiers émines, duquel grain lesdits parents ont fait partager entre
eux pour la nourriture desdits mineurs dont ils se sont volontairement
chargés, savoir ledit Léonard Crorieux de l’aîné,
ledit Joseph Duroudier du cadet, ledit Mousset de ladite Françoise
de Crorieux, ledit George Bonnefont de ladite Léonarde de Crorieux
et le tuteur de ladite Anne. Et de là avons été conduits
dans un autre grenier où il s’est trouvé trois sacs de châtaignes
sèches qu’on a partagé de même que lesdits grains.
Et ensuite sommes allés dans un jardin près de ladite
maison où nous y avons trouvé trois ruches à miel
garnies de leurs mouches en vie qui ont été estimées
à la somme de douze livres (cy 12£)
De plus lesdits parents nous ont déclaré que le sieur
régisseur du seigneur marquis de Linards avait fait faire l’estimation
des bestiaux dudit domaine qu’exploitait ledit de Crorieux décédé,
par ledit Boudou, lequel nous avons interpellé de nous déclarer
à quelle somme il les avait estimé, lequel moyennant son
serment nous déclare les avoir estimés à la somme
de [un blanc] livres. Plus lesdits parents nous ont déclaré
que lors du décès dudit de Crorieux il y avait autres deux
coffres de menuiserie dans ladite maison qui ont été enlevés
par quelqu’un. De plus ladite Dubois nous a déclaré qu’elle
avait fait amener des planches de caisse de bois de fayard en la ville
de St Léonard pour les vendre, desquelles planches elle ne sait
le nombre, et enfin avons dit et déclaré à ladite
Dubois si elle sait d’autres effets appartenant à la succession
de son mari, laquelle moyennant son serment nous déclare n’avoir
ni savoir ni retenir aucun effet ou ni argent, que seulement quelques papiers
qu’elle nous a présenté dans un petit sac et attendu qu’il
est près de sept heures du soir avons remis la continuation de l’inventaire
à demain à huit heures du matin où toutes parties
demeurent assignées, en présence de sieur Denis Villette
greffier de la juridiction de Linards y demeurant et autre sieur Denis
Villette praticien y demeurant, témoins comme requis et appelés
soussignés avec nous et les parties et parents déclarent
ne savoir signer de ce interpellés lecture faite.
VILLETTE
Et advenant le vingt troisième mars mille sept cent soixante
treize à huit heures du matin, par-devant nousdit notaire soussigné
et témoins bas nommés, est comparu ledit Demartin qui nous
a requis la continuation dudit inventaire en présence des parents
et ayant fait ouverture dudit sac de papiers à nous représenté
par ladite Dubois y avons trouvé :
Premièrement copie d’une vente consentie par Léonard
Dunouhaud à Léonard Dubois passé devant Fleyssat notaire
le 18 juin 1741 cotée par lettre A.
Brevet d’arpentement des propriétés que possédait
Mathieu Breuilh dans le ténement du Puylarousse de l’année
1758 signé Breton arpenteur royal, coté par lettre B.
Copie [de] deux ventes faites par Charles Pingou et Antoine de Crorieux
le 13 avril 1768 passé devant le notaire soussigné coté
par lettre C.
Copie d’une vente consentie par Léonard Garat à Léonard
Dubois devant Chaussade notaire le 31 août 1749 ayant la quittance
des lods ainsi que les autres dessus narrées, coté par lettre
D.
Brevet d’arpentement des propriétés d’Antoine Duprieur
dans le ténement de la Grenouillère signé Martinet
du 26 avril 1766 cotée par lettre E.
Copie du contrat de mariage de Léonard Dubois et Anne Roudier
du 17 novembre 1735 cotée par lettre F.
Copie deux obligations de soixante livres par Léonard Dubois
au sieur Faucher ayant la quittance au bas, du 6 novembre 1740 coté
par lettre G.
Copie d’une vente faite par Martial Garat à Léonard Dubois
le 10 septembre 1743 passé devant Chaussade ayant quittance des
lods au bas coté par lettre H.
Transaction entre Antoine Flacard et Léonard et autre Léonard
Dubois portant vente de fonds par ledit Flacard en date du 30 août
1744 signé Fleyssat notaire coté par lettre J.
Original d’une vente par Léonard Barnagaud à Léonard
Dubois du 6 novembre 1740 passé devant Fleyssat notaire ayant quittance
des lods au bas cotée lettre K.
Copie d’une vente consentie par Léonard Dujardinier à
Antoine Duprieur devant Barget notaire le 30 avril 1765 cotée par
lettre L.
Quittance sous seing privé de la somme de trente livres signée
Devaux le 21 mars 1754 en faveur de Léonard Dubois cotée
par lettre M.
Copie d’une cession et transport de droits successifs par Françoise
Dubois à Antoine Duprieur passée devant Paretou notaire le
5 février 1768 cotée par lettre N.
Copie d’une vente à faculté de rachat de neuf ans consentie
par Mathieu Breuilh et Marguerite Dubois à Léonard Garat
le seize août 1756 devant Chaussade notaire cotée par lettre
O.
Tous lesquels titres et papiers sont ceux que nous avons trouvé
bons à inventorier, y en ayant deux autres petits paquets fort vieux
et inutiles tels que nous avons remis à ladite veuve, et les ci-dessus
inventoriés les avons remis au tuteur sus nommé qui s’en
est chargé ainsi que de tous lesdits meubles, pour le tout représenter
quand requis en sera, et attendu qu’il est l’heure de midi nous sommes
retirés et avons remis la faction du procès-verbal au troisième
jour du mois d’avril prochain jour auquel toutes parties demeurant assignées
ainsi que lesdits parents, ledit tuteur offrant de nous faire trouver des
experts connaissant à ce qui prêteront le serment en tel cas
requis et de suite vaqueront à la visite des bâtiments qui
sont situés au village de Puylarousse paroisse dudit Linards où
nous nous transporteront ledit jour pour recevoir leur rapport à
la […] des présentes et déclarent iceux comparants ne savoir
signer de ce interpellés en présence des sus nommés
nos témoins soussignés
VILLETTE
Et advenant ledit jour troisième d’avril mille sept cent soixante
treize à huit heures du matin, au requis dudit Jean Demartin nous
notaire soussigné en présence desdits témoins accompagné
d’eux nous sommes portés audit village du Puylarousse paroisse de
Linards, où étant arrivé avons trouvé ledit
Joseph Duroudier et ledit Léonard de Crorieux, Pierre de la Boulandine
laboureur dudit lieu et Martin de Sautour aussi laboureur du même
lieu, parents et voisins desdits mineurs et encore ledit Antoine Flacard,
Jean Arnaud maître maçon dudit village de Fégenie et
Joseph du Fraisseix maître charpentier du lieu de la Fontpeyre paroisse
de Linards, auxquels dits maîtres maçon et charpentier nous
avons fait prêter le serment en tel cas requis et les avons sommé
de nous faire observer les réparations à faire et état
actuel desdits bâtiments et après avoir attendu une heure
au-delà pour voir si lesdits Jean Duroudier, Georges Bonnefont et
Léonard Mousset se présenteraient nous avons contre donné
défaut et de suite procédé audit procès-verbal
comme s’ensuit. Premièrement étant entrés dans ladite
maison qui ferme avec une porte assez en bon état ayant une serrure
commune et un mauvais loquet, y avons trouvé dedans une vieille
table de grosse charpente, un banc, une mauvaise maie et un châlit
de même, plus une crémaillère de fer ayant huit anneaux
attachée à la cheminée. Et ledit maître maçon
nous a fait remarquer que le four et pignon joignant ensemble menacent
de ruine et ont besoin d’être refaits à neuf, que ladite [maison]
est pavée de pierre brute mal ajustée et ledit maître
charpentier nous a observé qu’il manque une planche au […] de ladite
maison dans une chambre ainsi qu’une porte, que le plancher du grenier
est en bon état mais que le grenier n’a pas de porte, et le plancher
de ladite chambre n’est pas bien fait, et a besoin de réparations.
De là sommes été dans ladite grange où nous
avons remarqué que les portes sont fort vieilles et qu’il fait besoin
une oullière à l’étable des bestiaux et qu’il n’y
a aucun […] entre les deux étables. Et ledit maître maçon
nous a fait remarquer que les pignons ne sont montés qu’au carré
et que sur le derrière de ladite grange il manque deux toises […]
qui menace ruine et sur la porte de l’étable il y manque trois pieds
sur un […] à faire et ledit charpentier nous a fait remarquer que
les charpentes tant de la maison que de la grange sont en bon état
mais que les couvertures qui sont à paille ont besoin de faire à
taille ouverte à l’exception de deux fillous, de tout quoi nous
avons fait et dressé notre présent procès-verbal et
clos ledit inventaire pour servir et valoir que de raison et ledit Demartin
s’est chargé de tous les meubles et papiers pour les représenter
quand requis en sera sous les peines de droit. Fait et clos à six
heures du matin ledit jour trois avril mille sept cent soixante treize,
en présence desdits sieurs Denis et autre Denis Villette praticiens
demeurant audit bourg de Linards, témoins connus requis et appelés
soussignés et les susnommés ont déclaré ne
savoir signer de ce interpellés lecture faite et lesdits parents
et tuteurs déclarent ne savoir d’autres effets dépendant
de ladite succession, affirmant que s’il en venait à la connaissance
d’un quelqu’un de les faire mettre par addition au bas des présentes,
approuvant le renvoi.
VILLETTE VILLETTE CHAUSSADE
Contrôlé à Linards le trois avril 1773 reçu
deux livres, […] reçu quinze livres et pour les huit […] six livres
seize sols
CHAUSSADE